Je vous relais cet article de WiSeed… BRAVO WiSeed pour cette belle histoire!
L’immobilier chez WiSEED c’est une longue histoire, amorcée dès 2011. Un pari à l’époque sur un secteur alors ancré dans la tradition. Rappelons que les investisseurs eux-mêmes affichaient un certain scepticisme face aux taux de rendement présentés. Les premiers remboursements ont démontré par l’exemple que WiSEED avait eu raison de disrupter ce marché qui présente aujourd’hui le plus fort dynamisme de l’industrie du financement participatif.
Nous venons d’atteindre le seuil des 200 projets remboursés en immobilier, WiSEED est la première plateforme à franchir un tel cap !

Une performance rare* : un TRI brut de 9,4% pour une durée d’immobilisation de 20 mois en moyenne.
Le financement type : 400 000€ réunis en moyenne par projet souvent en quelques minutes ou quelques heures.
LE CROWDFUNDING S’IMPOSE COMME UN PRODUIT D’ÉPARGNE
Durée d’investissement courte, rendements importants, actif tangible facilement compréhensible par l’investisseur, le crowdfunding immobilier a rapidement rencontré son public. Des investisseurs à la recherche de l’optimisation de leur épargne puisqu’il permet d’allier une rentabilité rapide à des actifs plus stables que les actifs cotés, puisque non soumis à la volatilité des marchés. Comme tout investissement, il inclut un risque que l’on peut diluer en diversifiant ses placements sur différents programmes.
Parmi les 200 remboursements, prenons par exemple deux projets qui constituent une bonne illustration. Les jardins d’Amélie, projet d’immobilier résidentiel avec une collecte d’1 million d’euros, consistait à réaliser un ensemble de 35 logements en Ile-de-France. Il a permis aux 350 WiSEEDers qui ont investi de se voir rembourser avec un taux annuel d’intérêts bruts de 10% sur 18 mois.
Pour Les jardins d’Ozon, les 617 WiSEEDers qui ont investi collectivement 640 000€ pour réhabiliter un bâtiment ancien situé en Rhône-Alpes afin de le transformer en locaux commerciaux, ont été remboursés avec un taux annuel d’intérêt brut de 12% sur 24 mois.
Atteindre ce cap symbolique de 200 projets remboursés – qu’on appelle également sorties positives – est une grande victoire pour nous ! C’est aussi le fruit d’un haut niveau d’exigence et d’une rigueur nécessaire, qui va de l’analyse à la gestion des opérations proposées.

Les échecs ? oui : une opération, le projet « Terlat », qui a fait grand bruit, en 201. Bien sûr il faut faire preuve d’humilité, le risque augmente au même rythme que le nombre de projets financés mais il faut avouer que le couple rendement risque de ces actifs est extrêmement performant.
LA CRISE CHANGE-T-ELLE LES PERSPECTIVES ?
La crise met avant tout à l’épreuve nos processus de traitements des retards d’échéances, car comme vous le savez, le confinement a mis à l’arrêt complet le secteur du bâtiment pendant plusieurs semaines entraînant naturellement des retards.
Pour les projets retardés, chaque négociation est unique et nécessite des arbitrages sur-mesure. Nous nous attachons à communiquer avec vous dès que cela devient possible et qu’un accord est passé. Rappelons que les retards sont rémunérés au taux prévu au contrat.
Vous le savez, je me refuse à la prospective à outrance, d’autant qu’en 2020 les mois se suivent mais aucun ne se ressemble… Alors oui l’immobilier professionnel est davantage touché, à l’exception de la logistique (entrepôts) ou des bâtiments de santé. Le résidentiel lui, secteur sur lequel nous nous concentrons, est résilient à condition de conserver une politique d’engagement cohérente (emplacement, qualité et adaptation du produit au marché, professionnalisme des opérateurs).
Comme le dit l’adage « Quand l’immobilier va, tout va ! » Je suis confiant et nous continuerons d’accompagner le développement des professionnels du secteur grâce à nos solutions de financements flexibles et rapides en offrant une solution unique d’optimisation de votre épargne.
Nicolas SERES, Président et Co-fondateur